Passeront-ils le réveillon de la Saint-Sylvestre « à la rue » ? Chassés de chez eux pour cause d’incendie ? Ce jeudi, la question se posait. Les pompiers inspectaient toujours l’immeuble. Et la réponse est entre les mains de l’architecte sécurité de la préfecture de police.
Dans la soirée de mercredi à jeudi, à 22 heures, un incendie s’est déclaré dans un immeuble ancien de la rue Pierre-Semard (IXe), près du square Montholon. Le feu a pris dans un appartement du 2e étage. D’après les premiers éléments de l’enquète, il s’agirait de l’occupante, « une personne fragile », agée de 53 ans, qui se serait endormie avec sa cigarette. « Les gens de l’immeuble qui la connaissent et ont leur appartement détruit, glisse un témoin, sont un peu énervés après elle ».
Dans le sinistre, quatre victimes ont été légèrement intoxiquées par les fumées, certaines brièvement hospitalisées. Un couple et ses deux enfants, dont l’appartement, au dernier étage, était équipé d’une échelle, se sont réfugiés sur le toit. Un sapeur-pompier est monté de balcon en balcon, au moyen d’une échelle à crochets jusqu’à eux pour les mettre en sécurité.
L’immeuble a été très abîmé côté cour par les flammes. La cage d’escalier a elle été complètement noircie et, d’un point de vue sécurité, impraticable. Les locataires ont tous été évacués. « L’hôtel en face a accueilli gentiment tous les gens de l’immeuble dans ses salons », détaille Delphine Bürkli, la maire (LR) du IXe qui était présente sur les lieux avec les familles et le colonel des pompiers.
Le sinistre a mobilisé quatre-vingt soldats du feu, vingt engins et trois lances.
leparisien.fr
Passeront-ils le réveillon de la Saint-Sylvestre « à la rue » ? Chassés de chez eux pour cause d’incendie ? Ce jeudi, la question se posait. Les pompiers inspectaient toujours l’immeuble. Et la réponse est entre les mains de l’architecte sécurité de la préfecture de police.
Dans la soirée de mercredi à jeudi, à 22 heures, un incendie s’est déclaré dans un immeuble ancien de la rue Pierre-Semard (IXe), près du square Montholon. Le feu a pris dans un appartement du 2e étage. D’après les premiers éléments de l’enquète, il s’agirait de l’occupante, « une personne fragile », agée de 53 ans, qui se serait endormie avec sa cigarette. « Les gens de l’immeuble qui la connaissent et ont leur appartement détruit, glisse un témoin, sont un peu énervés après elle ».
Dans le sinistre, quatre victimes ont été légèrement intoxiquées par les fumées, certaines brièvement hospitalisées. Un couple et ses deux enfants, dont l’appartement, au dernier étage, était équipé d’une échelle, se sont réfugiés sur le toit. Un sapeur-pompier est monté de balcon en balcon, au moyen d’une échelle à crochets jusqu’à eux pour les mettre en sécurité.
L’immeuble a été très abîmé côté cour par les flammes. La cage d’escalier a elle été complètement noircie et, d’un point de vue sécurité, impraticable. Les locataires ont tous été évacués. « L’hôtel en face a accueilli gentiment tous les gens de l’immeuble dans ses salons », détaille Delphine Bürkli, la maire (LR) du IXe qui était présente sur les lieux avec les familles et le colonel des pompiers.
Le sinistre a mobilisé quatre-vingt soldats du feu, vingt engins et trois lances.
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Passeront-ils le réveillon de la Saint-Sylvestre « à la rue » ? Chassés de chez eux pour cause d’incendie ? Ce jeudi, la question se posait. Les pompiers inspectaient toujours l’immeuble. Et la réponse est entre les mains de l’architecte sécurité de la préfecture de police.
Dans la soirée de mercredi à jeudi, à 22 heures, un incendie s’est déclaré dans un immeuble ancien de la rue Pierre-Semard (IXe), près du square Montholon. Le feu a pris dans un appartement du 2e étage. D’après les premiers éléments de l’enquète, il s’agirait de l’occupante, « une personne fragile », agée de 53 ans, qui se serait endormie avec sa cigarette. « Les gens de l’immeuble qui la connaissent et ont leur appartement détruit, glisse un témoin, sont un peu énervés après elle ».
Dans le sinistre, quatre victimes ont été légèrement intoxiquées par les fumées, certaines brièvement hospitalisées. Un couple et ses deux enfants, dont l’appartement, au dernier étage, était équipé d’une échelle, se sont réfugiés sur le toit. Un sapeur-pompier est monté de balcon en balcon, au moyen d’une échelle à crochets jusqu’à eux pour les mettre en sécurité.
L’immeuble a été très abîmé côté cour par les flammes. La cage d’escalier a elle été complètement noircie et, d’un point de vue sécurité, impraticable. Les locataires ont tous été évacués. « L’hôtel en face a accueilli gentiment tous les gens de l’immeuble dans ses salons », détaille Delphine Bürkli, la maire (LR) du IXe qui était présente sur les lieux avec les familles et le colonel des pompiers.
Le sinistre a mobilisé quatre-vingt soldats du feu, vingt engins et trois lances.
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Sujet: Incendie au travail de ma bru à Paris 
