Un pretre d 84 ans ils l'égorgent comme un mouton dans l'église ! en criant Allah wakbar !

JE ne sais pas ou on va.
Je déplace dans "actualités

Jacques Hamel, le prêtre assassiné lors de l'attaque de l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray ?

Oui Sauveur, c'est horrible, je l'ai entendu à la radio ce matin, les chrétiens n'ont pas l'esprit de vengeance mais de pardon mais c'est dur à entendre une telle barbarie, malheureusement il y a tellement de fichés S que ce n'est pas fini.

Je suis horrifiée mas hélas! ça ne fait que commencer ce genre de terreur. On a pas fini de trembler.
A force d' offrir l' accueil, les aides de toutes sortes et la nationalité  Française à tout le tiers monde voilà ce que l'on obtient.
J'estime que la nationalité française devrait s'obtenir au mérite et non pas à la naissance sur le sol Français.

Une fois de + et une fois de trop!!! bien d'accord avec toi Lili dehors toute cette racaille.

Depuis longtemps l'on sait que les mosquées radicalistes forment les candidats au djihad  et sont le terreau de l'islamisme Salafiste radicale et que les partis de droites demandent leurs fermetures ?tant qu'on aura des Vals  et des Belkacem  dire que l'islam est une chance pour la france ! ne soyons pas étonnés de tous ses attentats , le dogmatisme de la gauche fait la partie belle aux terroristes .Il ne faut pas avoir fait HEC pour comprendre cela

[size=32]Enterrer Adel Kermiche à Saint-Etienne-du-Rouvray? "On ne va pas salir l'islam  [/size]Un responsable de la communauté musulmane de la ville visée par l'attaque contre l'église catholique refuse l'inhumation du djihadiste âgé de 19 ans. La mosquée refuse de s'en occuper, mais c'est à la mairie de Saint-Etienne-du-Rouvray de trancher.
Que faire des dépouilles des terroristes? La question se pose une nouvelle fois, quatre jours après l'attentat dans l'église catholique de Saint-Etienne-du-Rouvray revendiqué par Daech: un représentant de la communauté musulmane stéphanaise rejette avec vigueur une éventuelle inhumation dans l'un des carrés associés à leur religion, au sein des deux cimetières de la ville. 
"On ne va pas salir l'islam avec cette personne", s'est insurgé jeudi soir Mohammed Karabila, responsable de la mosquée située sur les hauteurs de la ville. Egalement président de l'association cultuelle musulmane locale, il précise que la communauté ne veut participer "ni à la toilette mortuaire, ni à l'inhumation", si celle-ci est réclamée par la famille. 

A chaque fois, c'est le même problème...